circuit desert privé,touaregAventure

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| *blog du sahara

                                                            histoire de la tunisie

HistoireDes civilisations sont apparues sur le sol de la Tunisie antique depuis 40.000 ans av. J.-C. Mais ce n’est que vers 814 av. J.-C. que cette terre, idéalement placée à la croisée des routes maritimes et terrestres, entamera une inexorable ascension qui la fera entrer dans la légende de l’histoire, au même titre que Rome ou les plus prestigieuses cités de la Méditerranée. 

La légende raconte, qu’à cette époque, la reine Elyssa, abandonnant le trône de la puissante Tyr à son frère, était arrivée, accompagnée d’un groupe de colons composés de savants, de dignitaires, d’esclaves et de soldats, à la recherche d’une deuxième patrie. Les autochtones l’accueillirent chaleureusement, mais quand elle leur fit part de son désir de s’installer, ils manifestèrent une franche hostilité. Elyssa les convainquit alors de lui vendre une parcelle de terre de la surface d’une peau de mouton. Ils acceptèrent, se disant qu’ils feraient ainsi plaisir à une reine frivole. La rusée reine fit alors découper la peau de mouton en de fines lamelles, qu’elle fit étirer de manière à recouvrir un vaste terrain. Médusés, les autochtones assistèrent alors à la fondation de Carthage, la plus puissante cité de l’Antiquité.

Cité légendaire, Carthage fut fondée vers la fin du 9ème, selon les historiens, sur une colline, au bord de la mer, dans un endroit qui deviendra aujourd’hui l’une des banlieues de Tunis (capitale de la Tunisie) mais qui portera toujours le nom de la glorieuse cité. Carthage contrôla très vite les échanges commerciaux dans la Méditerranée grâce à une puissante flotte et disputa la suprématie absolue du monde antique à Rome. Trois guerres opposèrent les deux civilisations (264-146 av. J.-C.). La plus célèbre d’entre elles est la deuxième. Elle débuta lorsque Hannibal, un illustre général Carthaginois de 27 ans, franchit les Pyrénées, avec une armée composée de 50.000 fantassins et d’éléphants. Il combattit, passa des alliances, et progressa inexorablement vers Rome. Jamais, au cours de son histoire, passée et future, la puissante cité ne fut si près de l’anéantissement. Mais Hannibal dut renoncer au siège de Rome, car une armée romaine avait débarqué sur le sol africain et progressait vers Carthage. Il fut vaincu. Au terme des trois guerres puniques, les Romains détruisirent Carthage (146 av. J.-C.). Ils la reconstruisirent plus tard, sous le règne de Jules César. Le pays devint alors le grenier de Rome, tant étaient prospère ses cités et fertiles ses terres.

HistoireEnvahie par les Vandales (439) puis prise par les Byzantins (533), la Tunisie du monde antique est conquise par les Arabes vers la fin du 8ème siècle. L’empire arabo-musulman s’étendra alors de l’Himalaya aux Pyrénées et la Tunisie (désormais appelée Ifriqya), malgré toutes les tentatives de l’Occident, restera à jamais arabe et africaine.

La légende (et l’histoire) se souvient de la résistance farouche qu’opposèrent les berbères aux conquérants arabes, menés par une reine berbère surnommée " Kehna " qui se réfugia en dernier lieu dans l’imprenable amphithéâtre d’El Jem. Ce lieu mythique, troisième amphithéâtre du monde antique, servira tout au long de l’histoire à abriter les révoltés, les conspirateurs et les opposants, jusqu’à ce que Mohamed Bey le démolisse en partie, à coups de canons, en 1850.

Vers 707, Moussa Ibn Noussaïr et Tarek Ibn Ziad se lancent à conquête de l’Espagne. Ce dernier, qui donna son nom à Gibraltar, restera célèbre dans l’histoire pour avoir brûlé, après que tous ses soldats aient débarqué sur le sol espagnol, les bateaux qui les avaient amenés. La légende raconte qu’il lança à ses troupes : " l’ennemi est devant vous et la mer derrière vous ; point d’échappatoire ". Et pour huit siècles, l’Espagne devint arabe et musulmane.

Les Aghlabites (800-909) choisissent Kairouan comme capitale. La cité deviendra une des villes les plus réputées de l’empire et du monde. La médecine, les sciences, le droit et la théologie y étaient enseignés par d’illustres savants. Les Fatimides (909-1159) transportent le centre du pouvoir à Mahdia, qu’ils font édifier en 926. L’Ifriqya restera jusqu’à 1051 une des provinces les plus prospères et les plus développées de l’empire arabo-musuluman, avant que les Fatimides qui s’étaient installés au Caire (fondée après la conquête de l’Egypte) n’envoient les tribus nomades –les Hilaliens- en représailles contre les Zirides, leurs vassaux indépendantistes.

HistoireLe pays connut alors, durant cent ans (1051-1159), la pire période de son histoire pourtant plusieurs fois millénaire. Des villes furent saccagées, des trésors inestimables pillés, des populations décimées et de la prospère et très avancée Ifriqya ne subsistèrent que des cités dépeuplées et sans défense.

Les Hafsides (1230-1574) reconstruisent le pays. Ils choisissent Tunis comme capitale et entament de grands projets, secondés par les Andalous, musulmans venant de l’Espagne reconquise, parcelle par parcelle, par l’Occident.

Vers 1574, les Turcs Ottomans annexent l’Ifriqya à leur empire ; la puissante Espagne y avait échoué. Pendant près d’un siècle et demi, elle leur servira de base pour la guerre de course en Méditerranée. Celle-ci consistait à capturer, pour le compte d’un Etat, des navires d’autres Etats. L’un des plus célèbres corsaires de cette période est le redoutable Barberousse, de son vrai nom Khayr El Din (1474-1546), qui contribua à l’expulsion des Espagnols. Le règne des Ottomans se prolongera jusqu’au début du 18ème siècle. Ils respecteront l’architecture des villes tunisiennes auxquelles ils ajouteront d’innombrables édifices de style Ottoman. Mais il échoueront à mettre en place un système politique stable. Les Husseinides (1705-1881) tenteront de réorganiser le pays et entreprendront des œuvres majeures de modernisation mais l’interventionnisme européen et les visées coloniales françaises aboutiront à la signature du traité du Bardo en 1881, qui permettra à la France de coloniser la Tunisie jusqu’en 1956.

Matmata,

le petit village berbère ,les maison troclodytes mais également  les « sous cimetières ».

Cette ville est devenue célèbre grâce au film la Guerre des Etoiles tourné ici même par George LUCAS en 1976 et en 2000. 6600 habitants continus d’habiter cette ville aux conditions climatiques assez rudes.


 

TouaregAventure organise des excursions à la carte ou parmi notre sélection de circuits dans le sud de la Tunisie. Nos circuits se font a bord d’un 4×4, ou on fait corps avec les dunes, ressentir l’infini du desert, voir les couchés de soleil. Nous vous proposons également la possibilité de faire un treck, du dromadaire ou du cheval afin de vivre vraiment une expérience incroyable.

Nous vous proposons, plusieurs circuits, entres les ksours, Oasis, méharé et Pistes berbères afin de découvrir les attractions désertiques les plus intéressantes du sud tunisien.


 

.i Tataouine 

Nos excursions dans le désert de la Tunisie révèlent une beauté rare d’une nature vierge avec ses paysages merveilleux.

Tataouine

 

C’est le plus grand gouvernorat en Tunisie, il était autrefois appelé Foum Tataouin.
Cette ville est connue pour les « Ksours » ces monuments historiques qui regroupent des greniers à blé et des habitations
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Djerba

Djerba se situe dans le sud de la Tunisie, à quelque 50 km au nord de Médenine, entre les péninsules de Jorf et de Zarzis. Sa superficie est de 514 km² (soit 28 par 22 kilomètres).

Elle est rattachée au continent depuis l'époque romaine par un viaduc qui relie son extrémité sud-est à la péninsule de Zarzis. L'altitude maximale sur l'île n'est que de 30 mètres au-dessus du niveau de la mer, ce qui la rend facile à explorer en vélo ou à moto

Aujourd'hui, le tourisme étend ses réseaux sur le littoral, surtout là où le sable fin et blanc des plages scintille sous le soleil radieux du Sud Tunisien, côtoyant une mer tiède et accueillante.

 


 le palmier

 

 

C'est un grand palmier de 15 à 30 m de haut, au tronc cylindrique, le stipe, portant une couronne de feuilles (les palmes).

Les feuilles sont pennées, finement divisées et longues de 4 à 7 mètres.

L'espèce est dioïque et porte des inflorescences mâles ou femelles, appelées spadices, enveloppées d’une très grande bractée membraneuse, la spathe. Les fleurs femelles ont trois carpelles indépendants, dont un seul se développe pour former la datte.

Les fruits, les dattes, groupées en régimes, sont des baies, à chair sucrée entourant un « noyau » osseux qui est en fait la graine.

 


 Voici la plus saharienne des oasis du sus tunisien. Ce village typiquement désertique et entouré de vraies dunes continue à garder jalousement ses us et coutumes ancestraux.


 

accueil /les ksours /oasis /méharé /pistes bérbéres /appréciations /résérvation


 

 

 

Douz est connu pour son marché du jeudi, son artisanat de peaux de dromadaires, ses bijoux berbères, l'élevage du célèbre lévrier (sloughi) et surtout son festival du Sahara qui rassemble en décembre les nomades ou semi-nomades de Tunisie, occasion pour l'observateur étranger et découvrir fantasias, mariages traditionnels, combats de chameaux, chasse au lévier..

 


 

 les chotts

Les chotts sont des dépressions fermées. Ils sont au nombre de trois :
Le Chott El Gharsa, à l'ouest, a la forme d'un triangle très allongé dans le sens est-ouest, dont le sommet touche presque la frontière tuniso-algérienne. La base, à l'est, fait 20 km. La longueur de la dépression est d'une cinquantaine de km. Le fond, fait de boues très salées, descend à 17 m au-dessous du niveau de la mer. El Gharsa est dépourvu d'eau souterraine.

 


 

 

 l'oasis

L'oasis la plus au nord du pays est celle de Gafsa

À l'ouest de Gafsa, tout près de la frontière tuniso-algérienne, on trouve les oasis de montagne : Chébika, la plus méridionale, un peu plus au nord, Tameghza et, tout près de celle-ci, Midès.

Au sud-ouest de Gafsa, entre le Chott El Gharsa et le Chott El Djerid, s’étend le pays du Djérid, avec ses quatre oasis : El Hamma et El Oudiane au nord, Nefta et Tozeur au sud.

En faisant, à partir de Tozeur, la fabuleuse traversée du chott el Jerid, on découvre le pays de Nefzaoua avec ses oasis notamment Kébili et Douz.

 


 

 el jerid

Le Djérid - les palmes - ou bled El Djérid - pays des palmes - s'étend sur l'isthme qui sépare les deux chotts, El Gharsa et El Djérid. C'est un pays aride où la pluviométrie est très faible. Il ne doit l'exubérance de ses palmeraies qu'à l'existence de nombreuses sources et, depuis quelques décennies, à des forages. L'eau, sans laquelle aucune culture n'est possible, est précieuse. Sa répartition entre les agriculteurs se fait selon des modes savants très précis. Comme les terrains, l’eau peut faire ici l'objet de transactions. L'utilisation de l'espace se fait d'une manière intensive. À l'ombre du palmier-dattier, on fait pousser des arbres fruitiers sous lesquels on pratique d'autres cultures, comme celles des légumes. En dehors des oasis ne règne que le désert.

 


 

 Tozeur

Tozeur, une oasis qui se fait de l'ombre par ses façades aux mosaiques de briques crues en dessins géométriques. La palmeraie, masse continue et dense sur la rive nord-ouest du Chott, compte un million six cent mille palmiers dont plus du quart donnent la meilleure des dattes: la "deglet nour". Deux cents sources jaillissent d'en dessous du désert d'alentour et plusieurs d'entre elles ont une vertu thérapeutique (ras El-Ayoun et El-Hamma du Djerid).

A visiter, le musée Dar Cherait expose dans son palais beytical les arts et traditions du pays. Visitez aussi le "Paradis", zoo des serpents d'Afrique, où le lion apprivoisé se balade parmi vous. En fin accepter la rose des sables cueillie par les carvaniers dans le désert.


 

 

 


 

  temerza

Tamerza est peut-être l'antique Ad Turres, poste défensif romain, devenu, à l'époque byzantine, siège épiscopal. Barricadé derrière une chaîne de montagnes, suspendu aux flancs d'un gigantesque canyon, dominant une immense plaine, le village jouit d'un site privilégié. En descendant du village, on peut atteindre le ravin de l'Oued El Khanga où l'on peut admirer une très belle cascade.

Comme à Chébika, l'ancien village, ici en pisé, a été abandonné et ses habitants occupent, tout près, le village nouveau. Mais le charme du site demeure intact.

 


 

    Douz


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